Modifications

Pledge (The)

3 336 octets ajoutés, 21 octobre 2012 à 11:28
<center>* * *</center>
 
 
<center>* * *</center>
 
<span id="ancre_124"> </span>
 
===Chapitre 24 : L’embuscade (pp. 188 - 204.)===
 
<table class="wikitable centre">
<tr>
<th> '''Résumé du livre'''</th>
<th> '''Correspondance du film''' </th>
<th> <strong> Nouveautés</strong></th>
</tr>
<tr>
<td>
* Le lendemain, M. dépose sur le bureau du commissaire les deux truffes au chocolat, ce dernier ne saisit pas le geste de M. : « <br/>
- ''Que voulez-vous que je fasse de ce chocolat ? ''<br/>
- ''Les hérissons ! ''<br/>
- ''Coment cela ? ''<br/>
- '' L’assassin avait donné des truffes à Gritli Moser : des truffes comme celle-ci, dont elle a fait de petits hérissons. Il n’y a plus d’énigme dans son dessin. ''<br/>
- ''Holà ! Comment prétendez-vous prouver la chose ? ''<br/>
- '' C’est ce qu’il vient d’arriver à Anne-Marie.''»</td>
<td>
</td>
<td> </td>
</tr>
<tr>
<td>
* Le commissaire fut convaincu sur-le-champ. Il fait venir Henzi, Feller et quatre hommes, et prévient le procureur. Enfin, le commissaire demande à M. si Mme Heller est au courant. M. secoue la tête.</td>
<td>
* '''[[#ancre_348|Ch. 48.]]'''</td>
<td> </td>
</tr>
<tr>
<td>
* C’était un jeudi. Le groupe s’installe autour de la clairière. L’enfant attendait d’une « ''attente à la fois curieuse, craintive et comme émerveillé'' ». Mais hélas, sans aucun succès.</td>
<td>
</td>
<td>L’attente va durer seulement, une après-midi. </td>
</tr>
<tr>
<td>
* La même surveillance reprit le vendredi, le samedi et le dimanche. Ils n’étaient plus que quatre sur les lieux.
* Le mardi matin, Henzi regagna Zurich.</td>
<td>
</td>
<td> </td>
</tr>
<tr>
<td>
* C’est le procureur qui va interrompre cette impossible attente. Il avance droit vers la fillette : « ''Qui est-ce que tu attends-là ? Allons ! qui attends-tu ? Vas-tu répondre, sacré petite bougresse ! ''» Pas de réponse, M. intervient : « ''Anne-Marie, la semaine dernière tu avais du chocolat, tu te rappelles ? Du chocolat comme des petits hérissons. Tu ne peux pas l’avoir oublié ! '' » (…) Pas de réponse. M. tenta sa dernière carte, il raconte à Anne-Marie les méfaits et le crime du « ''monsieur tout habillé de noir et qui donne des chocolats. '' » Anne-Marie le traite de menteur. Mais le procureur perdit patience et se mit à secouer l’enfant : «''Petite idiote ! Vas-tu le dire enfin, ce que tu sais ? ''» La pire malchance fait surgir Mme Heller juste à ce moment-là. M. avance vers elle : « '' Mme Heller, j’ai eu la preuve qu’un inconnu avait donné des chocolats à Anne-Marie, et je soupçonne qu’il pourrait s’agir de l’individu qui a donné du chocolat une fillette pour l’attirer dans les bois et la tuer. '' » La femme fixait sur lui un regard droit : « Mr. Matthieu, est-ce uniquement pour retrouver cet individu que vous nous avez fait venir à votre station d’essence, Anne-Marie et moi ?<br/>
- ''Il n’y avait pas moyen de faire autrement, Mme Heller.''<br/>
- ''Vous n’êtes qu’un salaud !'' » <br/>
Elle tourna les talons et s’enfonce dans le bois avec sa fillette, en direction du poste d’essence. </td>
<td>
* '''[[#ancre_351|Ch. 51.]]'''</td>
<td> </td>
</tr>
</table>
Bureaucrate, administrateur
5 931
modifications