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Pledge (The)

6 946 octets ajoutés, 14 octobre 2012 à 12:54
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* L’auteur consacre un chapitre sur l’ambiance générale de la maison de santé (une clinique psychiatrique), avant la rencontre avec le psychiatre, le docteur Locher. </td>
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* Dans le roman nous aurons droit à trois chapitres sur la rencontre avec le psychiatre, dans le film, un seul : '''[[#ancre_326|Ch. 26.]]''' </td>
* A un moment, M. perçut un long gémissement craintif, la lamentation d’une voix aiguë qui répétait, répétait sans discontinuer le même mot, sur le même ton de supplication.</td>
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* C’est la première image du film. '''[[#ancre_301|Ch. 1.]]''' </td> <td> </td></tr></table>  <center>* * *</center> <span id="ancre_120"> </span> ===Chapitre 20 : La rencontre avec le psychiatre (pp. 121 - 145.)=== <table class="wikitable centre"> <tr> <th> '''Résumé du livre'''</th> <th> '''Correspondance du film''' </th> <th> <strong> Nouveautés</strong></th> </tr><tr> <td>* C’est un chapitre très intéressant, car il donne, entre autres, des indications, des explications sur les raisons d’agissements des assassins d’enfants. </td> <td> </td> <td> </td></tr><tr> <td>* M. comprend que le professeur a reçu l’ordre de l’examiner. De plus, il constate que deux infirmiers attendaient devant la porte, au cas où M. ferait des difficultés.</td> <td> * Absent</td> <td> </td></tr><tr> <td>* Le professeur Locher pose sa première question directe à M. : «''Avez-vous des accès fébriles intermittents ? ''<br/>- ''Non. ''<br/>- ''Des troubles d’élocution parfois ? ''<br/>- ''Non plus. ''<br/>- ''Entendez-vous des voix ? ''<br/>- ''Inepte ! '' <br/>- ''Des sueurs soudaines ? '' » <br/>Voyant trembler la main de son patient : « ''Surexcité ? Je vais appeler l’infirmière tout de suite. Elle vous conduira à votre chambre…''<br/>- ''Pas question ! Auriez-vous un peu de cognac ? '' <br/>- ''Je vais vous administrer un calmant…''<br/>- ''Ce n’est pas d’un calmant que j’ai besoin, mais d’un cognac ! '' » (…) </td> <td> * Chez la doctoresse. '''[[#ancre_323|Ch. 23.]]''' </td> <td> </td></tr><tr> <td>* M. avait retrouvé son contrôle : « ''Et maintenant, Locher, laissons là toutes ces simagrées. Dans votre carrière de médecin, ne vous est-il jamais arrivé de rencontrer un cas insoluble pour vous ? (…)''<br/>- ''C’est pour me poser cette question que vous êtes venu me voir ? ''<br/>- ''Oui, celle-là parmi d’autres. '' <br/>- ''Mais pour l’amour du ciel, qu’est-ce qu’il vous arrivé ? (…)''<br/>- ''Je n’en sais rien… Cette fillette assassinée…''<br/>- ''Gritli Moser ? '' <br/>- ''Oui, je ne peux pas ne pas y penser. '' <br/>- ''Et cela vous tracasse, c’est cela ? ''<br/>- ''Avez-vous des enfants ? ''<br/>- ''Je ne suis même pas marié. ''<br/>- ''Moi non plus. ''<br/>- ''Voyez-vous, Locher (…) Je n’ai pas détourné les yeux comme mon successeur, Henzi, l’homme normal. Un cadavre mutilé… (...) Mon regard a tout affronté. Mais ce n’est pas encore cela le pire… (…) Aussi ai-je pu supporter la vue de la fillette : c’était encore mon métier… Mais là, quand je me suis trouvé devant le père et la mère, tout d’un coup, je n’ai plus pu le supporter et j’aurais fait n’importe quoi pour fuir cette satané maison ! C’est comme cela que j’ai promis sur mon âme de découvrir l’assassin… (…) Et pour le colporteur non plus, je n’ai rien fait ! (…) Oui, Locher, j’avais trouvé moyen de me réfugier dans cette impassibilité « supérieure », de me retrancher dans le formalisme inhumain, jusqu’au moment où, sur l’aérodrome, j’ai vu les gosses…''</td> <td> * Absent</td> <td> </td></tr><tr> <td>* <span id="ancre_120a"> </span> Le professeur Locher regarde M. et demande : « ''Qu’est-ce que vous fait croire, positivement, à l’innocence du colporteur ? ''<br/>- ''Ceci ! '' »<br/>M. se penche sur la table, y étale un papier qu’il défroisse avec mille précautions : un '''dessin d’enfant''', (…) aux crayons de couleurs, représente un homme. Grand. Plus grand que les sapins tout autour, qui ont l’air d’herbes étranges. Typiquement enfantin comme dessin : un point, un point, un trait vertical, un trait vertical et un grand rond autour, voilà pour le visage. L’homme a un chapeau noir et des vêtements noirs. De sa main droite, faite d’un rond et de cinq traits, s’échappent de petits ronds piquetés de poils (cela ressemble un peu à des étoiles qui tombent vers une minuscule fillette, plus petite encore que les sapins. Tout en haut, pour ainsi dire en plein ciel, il y a une auto de couleur noire, et à côté un animal fantastique avec de drôles de cornes.M. explique : « <br/>- ''C’est un dessin de Gritli Moser, que je suis allé prendre dans sa classe. ''<br/>- ''Mais qu’est-ce qu’elle a voulu dessiner ? ''<br/>- ''Le géant-hérisson. ''<br/>- ''C’est-à-dire ? ''<br/>- ''C’est sa rencontre qu’elle a dessinée… Il ne me paraît pas invraisemblable de soupçonner que Gritli Moser ait dessiné là le portrait de son meurtrier. ''»
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* Cette partie correspond à la rencontre de Jerry et du commissaire Eric Pollack. '''[[#ancre_315|Ch. 15.]]''' </td>
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* Le professeur ne comprenait pas ce qu’il vient faire de cette affaire. M. va le convaincre d’accepter sa méthode comme une hypothèse de base de travail : «'' Je ne vous demande rien d’autre que de retenir mon idée comme telle, à savoir que nous avons ici le portrait de l’assassin…'' »
Après un moment d’hésitation et quelques questions sur le colporteur, le professeur commente le dessin : « ''Sur son extérieur, le géant-hérisson du dessin pourrait fort bien nous faire un meurtrier par obsession sexuelle. Une sorte de colosse plutôt massif. Bon. La plupart de ceux qui s’en prennent de la sorte à des enfants sont des êtres de constitution primitive, et toujours plus ou moins des faibles d’esprit. Le type de l’imbécile et du débile mentale, pour employer notre vocabulaire médical : un gaillard robuste et nettement porté à la violence, qui souffre d’un complexe d’infériorité ou même d’impuissance devant la femme. ''» (…)
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* Absent</td>
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* Le professeur va comprendre que l’homme noir aura défendu à la petite de parler de leur mystérieux rendez-vous, et la malheureuse lui aura obéi en présentant les choses sous la forme d’un conte…</td>
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* Le professeur va conclure sur le fait qu’il ne s’agit pas d’un crime érotique (Gritli et les autres fillettes n’ont pas été violées), mais bien d’un acte de vengeance : en tuant le meurtrier voulait se venger des femmes. Le déséquilibre ou l’anomalie chez ces individus, tient à l’insuffisance considérable de la force qu’ils pourraient opposer au déchaînement de l’instinct. </td>
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* Absent</td>
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* Selon le professeur la raison d’une telle vengeance est la morbidité sexuelle. Traumatisme psychique consécutif à des difficultés dans ce domaine. Il se peut que notre homme ait été opprimé ou dominé par sa femme. Qu’il se soit jugé tel d’une façon ou de l’autre…</td>
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* Absent </td>
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Bureaucrate, administrateur
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