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Maître (Le)

151 octets ajoutés, 13 février 2012 à 18:43
/* Le Maître : Chef-d'œuvre inconnu */
<center>*</center>
<span id="ancre_com1"></span>Nous sommes fermement persuadé que le cinéma reste un continent à découvrir, un continent avec des richesses insoupçonnables… Ainsi, nous inaugurons, à travers le film, ''Le Maître'', de l’éblouissant réalisateur polonais, Piotr Trzaskalski, (un nom à retenir), une nouvelle orientation, une autre direction dans l’étude de la [[Thèse:Résumé#cinémancie|cinémancie]]. En effet, comme nous l’avons déjà dit ailleurs, l’analyse d’un film s’effectue d’une part, du [[Premier (plan d'un film)|premier plan]] du film au dernier plan, en tenant compte de la bande [[Son (bande-son)|son]] et des dialogues ; et d’autre part, en établissant des [[Combinaison (sémantique)|combinaisons]] qui rendent le film si profond.
D’ailleurs, il nous semble que '''l’art cinématographique est essentiellement, un art des [[Combinaison (sémantique)|combinaisons]], un art des [[Liaison (cinématographique)|liaisons]].''' De plus, il ne s’agit pas seulement des liaisons des images, des paroles, des sons, des objets, mais aussi, des liaisons extra-cinématographiques : la relation avec le spectateur, la société, le monde… Mais, cette méthode d’analyse nécessite un temps considérable, avec en un premier temps la constitution d’un corpus d’image significatif, et en un second temps, l’approche par tâtonnements des « relations significatives » du film <ref>En ce qui nous concerne, il nous semble qu’il est impossible d’analyser un film en l’ayant vu une ou deux fois. Un film se feuillette comme un livre. Il faut prendre des notes, se poser des questions, faire une enquête, des dessins, ouvrir un chantier, essayer de se mettre à la place du réalisateur, etc. Ensuite, on laisse reposer quelques temps, avant de revenir sur les résultats obtenus, et c’est ainsi que le produit gonfle, prends de l’épaisseur, trouve une direction. Et par la suite, chaque détail crée un pont vers d’autres éléments du film, les résultats se précise en se prolongeant et en plongeant dans d’autres relations, d’autres combinaisons. En résumé, un film reste ouvert.</ref>. Nous sommes conscient que cette approche est hypothétique et discutable…
Nous allons tout d’abord, établir un corpus d’image du film, et ce n’est qu’en second temps, que nous allons effectuer notre analyse. C’est une nouvelle méthode, car contrairement à l’édition du livre, ou l’ordre des pages (et de l’analyse) est à respecter scrupuleusement, grâce à Internet, nous pouvons modifier cette méthode d’analyse strictement linéaire, et d’effectuer des changements instantanés et répétitifs, selon l’orientation du discours. C’est comme si nous partagions, avant analyse, notre « brouillon » ou plan de travail avec le public. Ainsi, la page Internet aura une double fonction, un support de mémoire visuel des plans du film, et un partage des images (magnifiques) du film.